Je vis l'enfer. Je souffre le martyre. J'ai envie de hurler à la mort ...
Bien sûr que je pense aux enfants qui ont faim, aux guerres et aux malades qui n'ont plus de chance de vie.
Mais ne pensez-vous pas que, moi aussi, j'ai le droit d'être souillée ?
Ne pensez-vous pas que les souffrances du coeur sont les plus dures ?
Ces mots je ne les prononces pas, je ne fais que les écrires pour soulager le poids de mon âme.
La détresse de revivre se fait sentir.
Un coup de poignard, inévitable
mais brutal.
Je viens de perdre pied.
Tous ces mots remplacés par ces maux ...
Je vis un suicide sentimental.
Et le pire,
c'est que lui aussi ...